Avec tout le boulot que j’ai eu avec Enchanted Tools je n’ai pas pu couvrir les 8 derniers mois d’actus, je vais profiter du mois d’août pour rattraper quelques sujets histoire d’essayer de repartir en septembre sur de bonnes bases 🙂
Vous avez joué au nouveau Zelda ? Non ? Vous avez pas encore de Switch ?
Je vais pas vous re-faire le pitch mais plutôt revenir sur quelques points très notable du jeu.
Faut il avoir fait Zelda Breath of the Wild pour jouer à celui là ?
A la base, avant la sortie je regardais le jeu avec un intérêt modéré, je ne savais pas si j’avais envie de retourner dans le même jeu, le même environnement et de jouer à une suite. Mais à la sortie, j’ai pas hésité en me disant que au pire ça serait quelques heures sympas.
Une fois le jeu lancé, la claque, en fait, chez Nintendo, ils ont pigé que le meilleur moyen de faire un jeu incroyable à partir d’un jeu incroyable c’est pas seulement d’ajouter des choses mais aussi d’enlever les aspects qui pouvaient rendre le 1er parfois pénible, un exemple : plus de pénurie de flèches.
Du coup, si vous avez joué au 1er celui là sera encore plus agréable à jouer, si vous avez pas joué au 1er il se trouve que le nouveau est plus accueillant sur de très nombreux aspects.
Les graphismes qui n’ont pas changé depuis 2017 ! J’avoue que c’était un peu une de mes inquiétudes, à l’époque déjà on avait trouvé les graphismes et l’univers « ok » et bien là même constat, le bon vieux Tegra de Nvidia fait de son mieux mais on ne voit pas de grosse amélioration par rapport au BOTW. Par contre, là encore Nintendo démontre que les graphismes ce n’est qu’une partie de l’expérience de jeu et qu’avec du talent et de la poésie il est possible d’émerveiller les joueurs. On est émerveillé par un paysage, une vue, un levé de soleil parce qu’il y a quelque chose de magique dans ces Zelda Switch.
Quoi de neuf ? Et bien il y a pas mal de chose à découvrir mais les deux notables sont le craft et la verticalité des niveaux.
Le craft a beaucoup été mis en avant par Nintendo dans sa communication, il s’agit ici de construire des machines, presque du steampunk, pour se déplacer dans l’univers d’Hyrule. C’est plutôt amusant, bien fichu et surtout ce n’est pas vraiment obligatoire, il est possible de faire une grande partie du jeu en considérant le craft comme un petit plus.
L’autre nouveauté, c’est la possibilité d’explorer le ciel et le sous sol d’Hyrule, ça parait rien mais ça ouvre sur de nouvelles énigmes, de nouveaux biomes, de nouveaux monstres et de nouvelles sensations de gameplay. C’est vraiment beaucoup plus intéressant que ce que je pensais avant de lancer le jeu.
C’est long ? Hooo oui, c’est fou mais c’est vraiment super agréable de gambader dans ce monde qui offre une liberté dans sa découverte complètement dingue. Comme dans le 1er il est possible de se perdre et d’explorer sans limite. Je parlais de l’amélioration de la qualité de vie du joueur, là aussi, il est plus facile de suivre un axe principal si on cherche à être plus guidé que ce n’était le cas dans le premier.
Conclusion : jouez y 🙂
