Il y a quelques semaines, Pocket-lint faisait écho d’une augmentation qui pouvait attendre 71% des ventes de Kindle aux USA.
La raison est a priori simple, la sortie sur Amazon en numérique de Fifty Shades of Grey un roman de E. L. James qui a beaucoup fait parler de lui depuis sa sortie en 2011. La raison de cette popularité c’est que la trilogie est considérée comme une version moderne des livres du type Arlequin avec des pratiques sexuelles hors du cadre classique comme l’entends l’Amérique. (le livre arrive à la rentrée en France/Français).
Ce phénomène pose d’abord quelques questions. Est ce qu’un roman (du contenu) est vraiment un bon moyen de faire décoller les ventes d’un appareil ? On le sait depuis déjà quelques temps mais c’est encore une fois confirmée. L’autre question est, est ce que les gens l’achètent sur le Kindle parce que c’est pratique et instantanée, ils peuvent l’avoir après chaque page de pub ou plus simplement parce qu’un Kindle n’a pas de couverture et que du coup il est possible de lire n’importe quel type de livre sans à avoir à assumer la couverture ? Doit y avoir un de ça… 🙂
Le 1er tome en anglais coute 6€ en e-book, en septembre je pense qu’on devrait retrouver la VF à 15€ minimum… Une chose est sûre, c’est pas avec ces pratiques tarifaires que le livre électronique va se développer en France – du moins avec les éditeurs… –
Ben ouais, en france, faut payer l’éditeur original, l’auteur, l’éditeur francais et le traducteur (plus les distributeurs). « avec des pratiques sexuels hors du cadre classique » tu veux dire que les filles mettent des trucs dans leur bouche ? HAN !
dommage, je me réjouissais par avance de repérer les lectrices de ce mummy porn dans le métro/RER 😉 et si ça fait vendre le kindle, ce n’est que la répétition de l’hitoire du minitel (rose) !
Non, plutôt des trucs avec des gens attachés 😉
On est pas encore sûr que çà sera pareil en France 😉